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Association Racines d’Enfants, Qui sommes nous ?

 
L’Association Racines d’Enfants est l’évolution du Collectif de La Marche Pour L’Égalité Parentale connu pour avoir marché 1200 kilomètres en 2021 et 2022 afin de promouvoir les bienfaits de l’Égalité Parentale sur l’enfant. Suite à cela l’association Racines d’enfants fut créé en janvier 2023.
Nous avons comme objectif de faire évoluer l’Égalité Parentale dans l’intérêt des Enfants et des Familles, de réfléchir sur la nature des problèmes et proposer des solutions pour défendre le droit à l’enfant, de grandir avec ses deux parents lorsque les conditions sont réunies.
Nous souhaitons sensibilser  nos jeunes majeur(e)s ainsi que les parents les politiques et médias à la coresponsabilité parentale, en implantant un arbre de la coparentalité dans un maximum de commune de France et également en implantant la Forêt de l’Égalité Parentale sur la carte de France.
Les chiffres sont alarmants c’est pourquoi nos efforts portent en priorité sur l’évolution positive de la loi et le respect de l’intérêt de l’enfant dans les tribunaux concernant la justice familiale.
 

L'Intérêt de la Coparentalité pour l'Enfant

 
Chaque année dans le pays, les séparations parentales concernent un nombre croissant de familles. Selon le Haut Conseil des Familles (HCFEA) près de 426 000 couples se séparent chaque année, ce qui entraîne la mise en place d’un mode de garde adapté pour les 380 000 enfants mineurs issus de ces unions.
En 2023, les études reconnues et les organismes les plus sérieux démontrent que le fait pour un enfant de côtoyer ses deux parents de manière des plus régulière possible favorise son développement psychologique et son bien être.
Malgré cela les chiffres en France concernant le temps que passe l’enfant avec ses deux parents et les décisions de justice ne favorisent pas une évolution positive. Avec un des taux les moins élevé d’Europe de résidence alternée et seulement 4% de non représentation d’enfant condamné sur 32400 plaintes la justice des affaires familiale doit évoluer en prenant sérieusement en compte l’intérêt de l’enfant. 
La garde dite « Classique » ne permet à l’enfant de passer que 27% de son temps avec son parent non gardien en 2023, ce qui est bien trop peu pour lui permettre de créer un lien de qualité avec son parent. Le Conseil de l’Europe ou encore la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (C.I.D.E) alertent pourtant sur la nécessité pour un enfant de favoriser un temps partagé avec ses deux parents si il n y a aucune carence avérée chez ses derniers.
 

La Résidence Alternée (RA)

 
La loi du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale vise à assurer l’égalité entre tous les enfants, quelle que soit la situation matrimoniale de leurs parents. Elle s’attache également à renforcer le principe de coparentalité selon lequel il est dans l’intérêt de l’enfant d’être élevé par ses deux parents, même lorsque ceux-ci sont séparés. La loi dispose ainsi que, sauf motifs graves, l’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants.
Cette nouvelle législation a validé l’existence légale de la résidence alternée.
Rappelons rapidement que la Résidence Alternée ne représente en France que 12 % des modes de garde, ce pourcentage étant l’un des moins élevé d’Europe. Les tribunaux aux affaires familiales choisissent massivement la garde dite « classique » donnant 75 % du temps avec un parent et 25 % du temps avec l’autre alors que les études scientifiques sérieuses démontrent les bénéfices pour l’enfant de passer un maximum de temps avec ses deux parents.
A l’assemblée nationale des questions sont posées par des députés au garde des sceaux sur le sujet. Venant de différents bords politiques les propositions de loi se succèdent depuis 2017, ce qui démontre l’importance de se saisir de ce sujet sociétal.
Nous demandons :
Pour le bien-être des enfants et de leurs familles, que l’hébergement partagé, soit un principe étudié en priorité dans un jugement jaf sans être imposé (sauf en cas de carence ou violence avérée)
 

La Non Représentation d’Enfant (NRE)

 
Également appelée « Soustraction d’Enfant » ou « Enlèvement Parental », ce délit est réprimé par l’article 227-5 du Code pénal mais condamné que dans 4% des cas. Rappelons nous qu’il s’agit de 32400 plaintes par an et seulement 1300 donnant suite à une poursuite pénale.
Priver un enfant d’un de ses deux parents de manière abusive constitue une infraction pénale de maltraitance psycologique habituelle sur mineur(e).
Les parents victimes de Non Représentation d’Enfant se sentent impuissants tout comme les grands parents ou autres membres de la famille. Cette situation peut parfois durer des mois voire des années.
Nous demandons :
Pour le bien-être psychologique et émotionnel des enfants il faut faire appliquer les lois contre les N.R.E.
 

La Forêt de l’Égalité Parentale

 
Dans le but de matérialiser concrètement le manque d’Égalité Parentale en France, de ne jamais oublier les centaines de milliers d’enfants victimes d’exclusion parentale et familiale ainsi que les parents ayant lutté ces quarante dernières années pour que les enfants entretiennent des relations régulières avec leurs deux parents, nous allons acquérir un terrain destiné à ce que chaque parent puisse planter un arbre pour son enfant.
 

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